L’affaire 1MDB se lit comme un manuel du parfait blanchisseur

Jeudi 22 juin 2017

L’affaire 1MDB se lit comme un manuel du parfait blanchisseur

Sylvain Besson Publié mercredi 21 juin 2017 à 19:04, modifié jeudi 22 juin 2017 à 03:01.

Comment voler 4,5 milliards de dollars au nez et à la barbe des plus grandes banques du monde ? Explications en six points

Pour détourner 4,5 milliards de dollars – dépensés en jets privés, yachts, bijoux, soirées au casino, tableaux et appartements de luxe – les dirigeants du fonds malaisien 1MDB et leurs complices ne se sont pas rendus dans des paradis fiscaux de seconde catégorie. Ils ont opéré à Singapour, en Suisse, au Luxembourg et aux Etats-Unis. Des centres de premier ordre où les systèmes antiblanchiment devraient être irréprochables. C’est loin d’être le cas, comme le montre la dernière plainte civile américaine visant les acteurs du scandale.

Dans chaque banque, les transactions colossales opérées pour détourner l’argent du fonds souverain malaisien ont pourtant fait naître des doutes. Lire la suite.

Revenir en haut