Maurice, Singapour, Delaware : ma planète off-shore en 3 clics

Jeudi 2 avril 2009

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Maurice, Singapour, Delaware : ma planète off-shore en 3 clics

Par David Servenay | Rue89 | 31/03/2009 | 18H54

Extraits d’un article mis en ligne sur le site internet Rur89.com :

1 L’île Maurice, paradis des commissions

Plus connue pour ses plages, ses hôtels de luxe et ses lagons bleus, l’île de l’océan Indien est devenue la destination préférée des intermédiaires distributeurs de commissions. En 1992, elle a tellement transformé le régime fiscal et juridique des sociétés qu’elle a pris la place de première place off-shore de l’hémisphère Sud. Le principe de la « Global Business » licence de catégorie II permet pas mal de choses :

« Une société détenant une licence globale d’affaires de la catégorie II est souvent utilisée pour les opérations commerciales et les investissements. Les sociétés GBCII ne sont pas domiciliées pour des impôts et n’ont pas accès au réseau de traité des impôts de l’île Maurice. Le nom du propriétaire n’est pas révélé aux autorités. »

Et, comme le détaille plus loin cette « management company », la gestion est très pratique :

« La majorité de nos clients nous demandent de leur fournir des signataires de comptes [on donne procuration à un tiers (employé) pour activer le compte, ndlr]. Les avantages que comporte un tel arrangement sont l’efficacité opérationnelle, un point de contact unique et une confidentialité accrue. Lorsque nous fournissons des signataires de compte, nous acceptons des instructions télécopiées pour effectuer des virements et donner notification des soldes bancaires.« 

Pour posséder une off-shore à l’île Maurice, comptez 1500 dollars par an. Le tout dans les meilleurs délais (48 heures pour une société en port franc) et sans avoir à se déplacer (encore que, ça peut valoir le coup…).

Lire la suite de l’article sur le site de Rue89.com.

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