Unité de vues entre Italie et Suisse, sauf sur la fiscalité

Lundi 8 octobre 2007 — Dernier ajout dimanche 7 octobre 2007

Unité de vues entre Italie et Suisse, sauf sur la fiscalité

illustration : Micheline Calmy-Rey, Massimo D’Alema et Moritz Leuenberger à Berne jeudi. (Keystone)

La Suisse et l’Italie approfondissent leur collaboration. Les ministres des affaires étrangères des deux pays Micheline Calmy-Rey et Massimo D’Alema ont signé un accord en ce sens jeudi à Berne.

Extraits de l’article sur le site internet Swissinfo :

Le texte stipule que les deux ministères des affaires étrangères auront au moins une fois par année des rencontres à haut niveau. Ces consultations porteront sur les questions bilatérales, le renforcement des relations entre la Confédération et l’Union européenne (UE) ou encore les principales questions de politique internationale.

Reste que les deux ministres n’ont pas caché les divergences existant entre les deux pays sur la question de la fiscalité des holdings étrangers.

Avant tout technique

Alors qu’un journaliste interpellait Massimo D’Alema sur les cadeaux fiscaux consentis dans certains cantons à l’égard des holdings, un régime contesté à Bruxelles, c’est la présidente de la Confédération qui a tenu à répondre : « Nous avons expliqué la position suisse selon laquelle il n’y a pas de violation de l’accord de libre-échange de 1972 ».

Le ministre italien a alors souligné que la question était de savoir s’il y avait un régime discriminatoire ou non. Les discussions des experts à Bruxelles permettront de clarifier ce point, a-t-il relevé.

Reprenant la parole, la cheffe du DFAE a martelé qu’il n’y avait pas de régime discriminatoire, les entreprises suisses étant traitées sur un même plan que les entités étrangères.

Lire la suite sur le site internet Swissinfo.

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