Par Olivier Tosseri Publié le 13 mars 2023 à 12:24 Mis à jour le 13 mars 2023 à 18:24
Dix ans que Jorge Mario Bergoglio est assis sur le trône de Saint-Pierre. A peine élu, le 13 mars 2013, l’Argentin choisissait de se faire appeler François en référence à Saint-François d’Assise, soucieux des plus pauvres et caractérisé par l’humilité. « Il n’est pas possible que le fait qu’une personne âgée réduite à vivre dans la rue meure de froid ne soit pas une information, alors que la baisse de deux points en Bourse en est une », lançait le tout nouveau souverain pontife.
Comme le rappelle le quotidien « La Repubblica », la grande priorité du pontificat aura immédiatement été celle d’un assainissement des finances du Vatican, connues pour leur opacité. Un effort de transparence indispensable après une série de scandales de corruption, de placements douteux et d’investissements hasardeux. « L’argent doit servir et non pas gouverner », insistait le Pape auprès d’un entourage ecclésiastique aux compétences financières réduites, péchant plus par incompétences que par malhonnêteté. Lire la suite.