Selon la Banque mondiale, environ 95 millions de personnes sont passées sous le seuil de la pauvreté absolue en conséquence de la pandémie et de la guerre en Ukraine. En même temps, l’abandon des énergies fossiles a été renvoyé aux calendes grecques en raison de l’insécurité énergétique à laquelle le monde est actuellement confronté. Une poignée d’entreprises semble toutefois tirer son épingle du jeu : les négociants en matières premières, dont les affaires s’avèrent même extrêmement fructueuses en ces temps de crise.
Les vendeurs de pétrole, de gaz, de charbon, de blé ou de maïs profitent directement de l’augmentation de la demande, de la hausse des prix et des énormes fluctuations sur les marchés des matières premières. Lire la suite.