les mémos de la terreur

Jeudi 12 décembre 2024Opération Sirli : la justice européenne demande des comptes à la France

Trois ans après les révélations de Disclose sur l’opération de renseignement de l’armée française qui a conduit à des exécutions sommaires en Égypte, la Cour européenne des droits de l’Homme réclame des explications aux autorités françaises. Une procédure qui fait suite à la plainte de deux ONG internationales, déposée début 2024.

Mercredi 4 décembre 2024« Un scandale dans le scandale » : la journaliste Ariane Lavrilleux convoquée par la justice pour ses enquêtes en vue d’une mise en examen

La journaliste de Disclose, qui avait révélé des informations d’intérêt général sur une opération militaire secrète de la France en Égypte, a été convoquée ce 3 décembre, au tribunal de Paris. Elle sera reçue le 17 janvier prochain en vue d’une possible mise en examen, où elle pourrait risquer jusqu’à cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende.

Jeudi 8 février 2024Opération Sirli : la France visée par une plainte devant la Cour européenne des droits de l’Homme

Deux ONG ont saisi la CEDH, jeudi 8 février, pour faire reconnaître la responsabilité de l’État français dans l’exécution de centaines de civils égyptiens. Cette plainte fait suite au refus de la justice française d’enquêter sur les dérives de l’opération Sirli, une mission du renseignement militaire français en Égypte, révélée par Disclose.

Mardi 19 septembre 2023Aide militaire française détournée en Egypte : une journaliste placée en garde à vue en France

La journaliste Ariane Lavrilleux, à l’origine de révélations fin 2021 sur un possible détournement égyptien d’une opération de renseignement française dans le pays, a été perquisitionnée et placée en garde à vue mardi en France, a annoncé le média Disclose, qui a publié son article à l’époque.

Mercredi 5 juillet 2023Egypt papers :
 circulez, y’a rien à voir

En novembre 2021, le média d’investigation Disclose révélait la complicité de la France dans l’exécution de civils par le pouvoir égyptien. Après une enquête interne au ministère des Armées, plusieurs sollicitations de l’opposition et des plaintes déposées par des ONG, le gouvernement refuse toujours de reconnaître la moindre erreur.

Samedi 4 décembre 2021Aide militaire française détournée en Egypte : enquête pénale à Paris après la révélation de secrets de la Défense

Aide militaire française détournée en Egypte : enquête pénale à Paris après la révélation de secrets de la Défense 3 déc. 2021 Une enquête pénale a été ouverte en France après la révélation de secrets de la Défense nationale, dans des articles de presse sur une opération antiterroriste en (…)

Vendredi 26 novembre 2021Mission Sirli en Égypte : Paris porte plainte pour violation du secret-défense

Mission Sirli en Égypte : Paris porte plainte pour violation du secret-défense 25 nov. 2021 Le ministère français des armées a porté plainte mercredi pour « violation du secret de la défense nationale » après des révélations sur une opération antiterroriste française en Égypte qui servirait (…)

Mercredi 24 novembre 2021Surveillance made in France

Surveillance made in France Mardi 23 Novembre 2021 En Egypte, le groupe Dassault, la société Nexa Technologies et une filiale de Thales ont vendu un système de surveillance de masse à la dictature d’Abdel Fattah Al-Sissi. Avec la bénédiction de l’Etat français. Lire la suite.

Mercredi 24 novembre 2021Comment Paris arme l’Égypte dans sa guerre numérique

Débats & Reportages Comment Paris arme l’Égypte dans sa guerre numérique En Égypte, la moindre parole, le moindre commentaire posté sur les réseaux sociaux peuvent conduire en prison. Pour avoir fourni au régime du maréchal al-Sissi des outils lui permettant d’espionner sa propre (…)

Lundi 22 novembre 2021L’Egypte détourne une aide militaire française, Paris laisse faire

L’Egypte détourne une aide militaire française, Paris laisse faire (média) 21 nov. 2021 La France fournit des renseignements aux autorités égyptiennes qui sont utilisés par Le Caire pour cibler des trafiquants à la frontière égypto-libyenne, et non des jihadistes comme prévu, affirme (…)

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