Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, Bureau européen) Publié aujourd’hui à 12h20
Une grande incertitude plane désormais sur la suite que la justice belge pourra réserver au « Qatargate », le scandale de corruption impliquant des membres et ex-membres du Parlement européen. Après que le premier juge d’instruction, Michel Claise, s’est dessaisi du dossier, en juin, en raison d’un potentiel conflit d’intérêts, les plaintes visant le déroulement de la procédure et les fuites se multiplient. Elles pourraient entraver les investigations que mène une deuxième juge, Aurélie Dejaiffe, pour déterminer le rôle qu’auraient joué le Qatar, le Maroc et la Mauritanie afin de tenter de peser sur des décisions du Parlement. Lire la suite.